L'avocat de SBF a conclu un accord avec les procureurs, qui permettra à SBF d'utiliser l'application de messagerie.
Selon une lettre signée par l'avocat du SBF, Mark Cohen, l'équipe juridique du SBF et les procureurs sont parvenus à un accord selon lequel les parties modifieront leurs conditions de libération sous caution concernant l'utilisation des communications électroniques.
Les parties auraient convenu d'utiliser FaceTime, Zoom, iMessage, les SMS, les e-mails, Facebook Messenger et WhatsApp. (Pour WhatsApp, le téléphone du SBF doit avoir un logiciel de surveillance installé pour enregistrer ces messages.)
De plus, le SBF ne peut toujours pas utiliser d'applications de messagerie éphémères, telles que Signal.